Élisabeth et la diplomatie. ''Vous et moi, un seul combat!'', comme dirait si bien Marc Labrèche. Depuis quelques jours, je joue beaucoup la carte de la neutralité afin de calmer les esprits et de régler des conflits. Quand je pense avoir réglé une ambiguïté, j'ai à peine le temps de me retourner qu'elle réapparaît et je dois remâcher mes mots et mes propos afin d'en revenir à un état d'homéostasie entre moi et tous les individus qui gravitent autour. Je dois me rendre à l'évidence : C'est pas facile être pacifique et tenter d'être en bons termes avec tout le monde!
Marcher des oeufs, ça n'a jamais été fameux, de toute façon. C'est difficile et exigeant, car on doit toujours se réexpliquer et être très patient. Est-ce que ça se dit ''Mets-toi à ma place.''? Car, il me semble que je l'ai sortie souvent celle-là depuis quelques semaines. Je dois avouer que ça peut avoir l'air fou quand il n'y a que toi qui réussit à te suivre dans tes raisonnements et tes jugements. Je me dis qu'au moins, je me comprend!
Faire la part des choses, c'est une tâche bien ardue. On en revient toujours aux fameux choix à faire. Savoir nommer les pours et les contres qu'apportent telle ou telle situation demande un effort de projection et de répartie. La difficulté réside dans le fait de se poser en tant qu'être neutre face à une situation qui nous touche. La rationnalité a beau prendre sa place, les sentiments et le cadre émotionnel se crée toujours un chemin pour parvenir à nous mêler. Lequel des deux cadres devons-nous écouter? Cela doit dépendre bien évidemment des situations. Une chose est certaine, les deux doivent avoir leur mot à dire!
Bonne fin de semaine!
Éli
samedi 4 octobre 2008
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